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Auguste JAMOIS – 42 ans

Constant MARY – 28 ans

Né le 20 juillet1872 à Saint-Agnan de Pierre Jean Jamois et Marie Debray domiciliés à Préaux, époux de Marie-Louise Richard née le 2 août 1880, cultivatrice domiciliée à La Huberdière, Auguste Jamois est décédé à l’hôpital militaire de Saint-Omer, dans le Pas-de-Calais, le 10 avril 1915, de la fièvre typhoïde qui tua plus de 100 000 soldats français.

14 % des pertes françaises ont eu pour cause la maladie.

Henry LEGOUT – 33 ans

Né le 27 mars 1887 à Nocé, Constant est le fils de Clément François Louis Mary et Barbet Françoise Clarisse, journaliers, domiciliés à La Cirothière,à Préaux. Il est domestique au Boistier, où il rencontre son épouse, Marie-Julienne Cohignac, 28 ans, née à Saint-Malo

le 13 décembre 1882.

Il se marie avec elle le 28 novembre 1911.Réserviste, Constant est affecté au 19e bataillon de chasseurs à pied (les troupes d’élite).

Le 28 septembre 1915, il est mortellement blessé dans l’attaque

de la Ferme de Navarin, dans la Marne.

Il repose dans la nécropole nationale de Suippes.

Émile GARNIER – 37 ans

Né le 5 février 1879 à Préaux, Émile, fils de feu Rémi François Felix Garnier, maçon à La Gonnière, et de feu Chapellier Marie Désirée, née au Theil, nourrice, se marie en 1905 avec Louise Marie Barentin, domestique à La Mouchetière.

Mobilisé, Émile est affecté au 44e régiment d’artillerie de campagne qui accompagne les 103e et 104e régiments d’infanterie d’Alençon.

Le 26 juin 1916, à 1h40, sur la route entre Verdun et Bras, près du bois Lecourtier (Meurthe-et-Moselle), un obus allemand tombe sur le convoi de munitions qu’acheminent Émile et ses compagnons.

Le corps ne sera identifié que longtemps après. Émile repose à la nécropole nationale de Bras-sur-Meuse. Par jugement du 19 juin 1919.

Henry Legout naît le 19 novembre 1882 d’Émile Adrien Paul Legout

et de Célestine Lemaire, domiciliés à Saint-Cyr-la-Rosière, dans le canton de Nocé.

Il est fermier ou métayer pour les propriétaires du Manoir du Plessis

à Dancé. Atteint de rhumatismes sévères qu'il a soignés à Dax en 1913, il est mobilisé au 103e régiment d’Infanterie basé à Alençon.

Il est blessé peu après sur les champs de bataille de Champagne et transporté à l’hôpital de campagne de Chaudefontaine, au château de Vaux, dans la Marne. Il y décède le 15 mars 1916 à 16h des suites de ses blessures. Le décès ne sera retranscrit à la mairie de Dancé, d’ou il est originaire, qu’en 1921.

 

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