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Lucien Mary est né le 15 octobre 1893 de Louis Constant Mary et Françoise Célestine Tarenne à Préaux-du-Perche.

À la déclaration de guerre, il effectue son service militaire. Il est donc mobilisé dans les troupes d’élite comme soldat de 2e classe au 16e bataillon de chasseurs à pied. Il est mentionné décédé sur témoignage le 26 septembre 1916 lors de la bataille de Rancourt (Somme).

Le corps ne sera pas retrouvé. Il est déclaré mort par jugement du tribunal de Mortagne-au-Perche, le 21 septembre 1918.

Lucien MARY – 22 ans

Marcel est né le 26 juillet 1895 à Préaux, de Théodule Henri Buté et Henriette Honorine Gouhier, tous deux habitants de Préaux. Domicilié à Gas, près de Maintenon (Eure-et-Loir), Marcel est célibataire et conscrit au 150e régiment d’infanterie. Il est blessé à mort le 10 octobre 1916 lors de l’offensive sur Sailly-Saillisel (Somme).

Il décède à 3h du matin et est enterré à la va-vite.

Il est décoré de la Croix de guerre.

Marcel BUTÉ – 21 ans

Alfred MINOS – 22 ans

Alfred est né à Verrières le 3 novembre 1894. Cultivateur, il arrive à Préaux et s’installe dans la ferme de Memnard avec sa famille, avant d’être appelé pour le service militaire et mobilisé au 104e régiment d’infanterie d’Argentan.

C’est un jeune homme joyeux, qui joue très bien du violon.

Il sera tué devant Douaumont, près de Verdun, le jour de son 22e anniversaire, le 3 novembre 1916. L’acte sera transcrit à Nogent-le-Rotrou le 28 juin1917.

Il repose près d’Émile Garnier, dans la nécropole nationale de Bras-sur-Meuse.

 

 

Né à Préaux, fils d'Émilien Courteil et Madeleine Eluard, domicilié à Préaux, âgé de 33 ans, célibataire, réserviste, Henry est mobilisé au 303e régiment d’infanterie d’Alençon. Il participe à la bataille de Sailly-Saillisel aux côtés de Marcel et décède comme lui des suites de ses blessures, ce même 10 octobre 1916 à 20h.

Le 12 novembre 1916, les troupes françaises se rendent enfin maîtresses

de Sailly, au prix d’un effort surhumain.

Le 14 novembre, elles en sont chassées par les Allemands. Les lignes redeviennent ce qu’elles étaient.

 

Henry COURTEIL – 33 ans

© patrick bard & marie-berthe ferrer with Wix.com

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